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Pour mon je continue avec mes deux auteurs de ce début 2024 avec en premier «Le temps des miracles» de Anne-Laure Bondoux qui est le quatrième livres de l’autrice que je lis (ne vous arrêtez pas à la classification jeunesse de ses œuvres) et pour suivre il y a «Les Raisins de la Colère» de Steinbeck, mon deuxième après le sublime «A L’est d’Eden» que j’ai dévoré.

Suite du fil

J’ai changé mon fusil d’épaule et suit finalement passé sur « À l’Est d’Eden » de Steinbeck une autre fresque familiale qui est ma première lecture de l’auteur.

Pour le j’ai finis ce matin «l’Aube sera grandiose» de Anne-Laure Bondoux que j’ai lu d’une traite, j’ai conclu mes 100 ans aux côtés de la famille Balaguère de «Nous traverserons des orages» de l’autrice mercredi soir, un livre entre histoires du mondes et personnels, ne pouvant en rester là avec l’autrice après cette lecture géniale de ce livre classé jeunesse mais qui parle bien aux adultes, j’ai enchaîné et l’aube fut grandiose.

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« Je pleure sur ce monde qui glorifie les dominateurs jusqu'à en faire des héros alors qu'à l'évidence ils nous entraînent toujours vers le pire. »
Nous traverserons des orages (Gallimard) relate la saga de la famille Balaguère, originaire du Morvan, de 1914 à nos jours. Les destins individuels sont fracassés par la grande histoire.
Ce roman fleuve d'Anne-Laure Bondoux est saisissant.
Impossible de le refermer. À mettre entre toutes les mains.

Un ou je continue «les guerriers du silence» avec en parallèle le génial «Liminal» de Alt236 (si vous aimez le fantastique et l’angoisse allez voir ses vidéos YouTube) et l’intégrale du comics «Mutafukaz» de Run un petit pavé de près de 600 pages au Label 619 qui, comme toujours, propose un bel objet à un prix raisonnable.

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[CHRONIQUE POLAR]

En 1978, James Crumley crée le sulfureux détective C.W. Sughrue dont c'est ici la première enquête. Côtoyant la pègre étatsunienne, les mieux malfamés, l'alcool, la dope, les coups bas et le langage cru, ce polar déjanté crée un univers singulier défilant à toute allure. Publication chez #EditionsGallmeister en 2017 ⤵️

deslivresrances.blogspot.com/2

Je découvre le comics The Nice House on The Lake et c’est un belle claque.
« Et toi tu l’imagines comment la fin du monde? »
C’est sur cette phrase qu’on retrouve un groupe de personnes qui se connaissent de plus ou moins loins dans cette maison tous invitez à ar un ami commun qui s’avère ne pas être humain et qui les a réunis pour les sauver de la fin du monde organisé par les siens.
Une thématique peut-être déjà vu mais c’est très bien fait.

J’ai vu le magnifique Perfect Days De Wenders.
Film simple ou l’on suit le quotidien d’un laveur de toilettes tokyoïte amateur de musique sur cassette audio (Bo génial) , de nature et de livres.
On le suit dans cette routine sans grand drame ni action mais qui apprécie les petits riens et c’est toutes la beauté du film que de nous captiver dans cette routine parfois dérangée par d’autres sans pour autant tout faire voler en éclats.

Après « La Route » dont j’ai adoré la narration je me tourne, pour ce , vers le « dernier jour d’H.P. Lovecraft (rien que la couverture est déjà magnifique).
Également attiré par hasard par la couverture du « Wang » de Bordage que je découvre avec ce livre sûrement avant ses Guerriers du silence que j’ai repéré en me renseignant sur l’auteur.

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Trois États de la côte ouest des États-Unis - la Californie, l'Oregon et l'État de Washington - décident de faire sécession et de construire, dans un isolement total, une société écologique radicale, baptisée Écotopia. Vingt ans après, l'heure est à la reprise des liaisons diplomatiques entre les deux pays. Pour la première fois, Écotopia ouvre ses frontières à un journaliste américain, William Weston.
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