« Le micromanagement est fondamentalement incompatible avec la sécurité psychologique. Et sans sécurité psychologique, les équipes n'innovent pas, n'apprennent pas de leurs erreurs et ne développent pas leurs capacités. »

« Comment un style de management toxique affecte la santé de l'équipe » (en) https://sites.google.com/schrag.ca/consulting/home/micromanagement-and-psychological-safety

« On continue de croire que l'entreprise valorise l'expérience, la connaissance du métier. Mais ce qu'on attend désormais d'un manageur, ce n'est plus de savoir, c'est de s'ajuster. Lire les signes, adopter les bons codes, se fondre dans la norme. Et surtout, ne pas poser les questions qui dérangent. »

« Ce modèle ne mise ni sur la qualité de l'engagement, ni sur la force de l'intelligence partagée. » Il compte sur la disponibilité, la malléabilité, l'ambition docile.

Danièle Linhart, citée là : https://www.lepoint.fr/economie/on-a-bascule-dans-l-idiocratie-quand-les-incompetents-grimpent-les-echelons-28-04-2025-2588357_28.php via @nono2357

Grâce à René Descartes, "le péril de la folie a disparu de l'exercice même de la Raison. Celle-ci est retranchée dans une pleine possession de soi où elle ne peut rencontrer d'autres pièges que l'erreur, d'autres dangers que l'illusion. Le doute de Descartes […] bannit la folie au nom de celui qui doute […]
Désormais la folie est exilée."

Michel #Foucault in "Histoire de la folie à l'âge classique"

"Plus on est disponible mentalement, plus il nous est possible d’écouter, d’avoir de l’empathie, de mesurer ce qui est bon et acceptable pour le groupe. Plus on est stressé, plus il devient facile de succomber à nos propres intérêts et de risquer de remettre les valeurs qui protègent le groupe à un niveau moins important que celles qui nous protègent personnellement. La prise de décision éthique est donc coûteuse car elle invoque des coûts métaboliques et peut être difficile pour de nombreuses personnes."

Samah Karaki, docteure en #neurosciences, in "Le travail en équipe"

« On continue de croire que l'entreprise valorise l'expérience, la connaissance du métier. Mais ce qu'on attend désormais d'un manageur, ce n'est plus de savoir, c'est de s'ajuster. Lire les signes, adopter les bons codes, se fondre dans la norme. Et surtout, ne pas poser les questions qui dérangent. »

« Ce modèle ne mise ni sur la qualité de l'engagement, ni sur la force de l'intelligence partagée. » Il compte sur la disponibilité, la malléabilité, l'ambition docile.

Danièle Linhart, citée là : https://www.lepoint.fr/economie/on-a-bascule-dans-l-idiocratie-quand-les-incompetents-grimpent-les-echelons-28-04-2025-2588357_28.php via @nono2357

"Un smartphone est un concentré d’industries : minière, pétrolière, chimique, auxquelles s’ajoute l’industrie du data mining, de l’extraction de données. Comme je l’indique dans mon livre, selon les données de Fairphone, il faut des composants issus de plus de mille usines différentes pour permettre produire un seul « smartphone »."

Nous sommes "prisonniers d’un spectacle dans lequel les progrès de la technologie se sont en quelque sorte substitués à l’histoire."

Celia Izoard : https://www.contretemps.eu/entretien-celia-izoard-ruee-miniere/

Dr. Emily Judd : « L'impact du changement climatique dû aux activités humaines est (et continuera d'être) déterminé par le taux d'augmentation (c'est-à-dire la vitesse à laquelle le CO2 est produit et la température s'élève) bien plus que par les températures absolues elles-mêmes ».

citée par @hausfath là : https://www.theclimatebrink.com/p/climate-skeptics-have-new-favorite

"Une femme qui existe d’abord par sa personnalité, avec son univers, ses projets, ses opinions, ses réussites, court le risque d’effrayer certains hommes. Mais une femme qui correspond aux fantasmes masculins, qui existe amoureusement et socialement d’abord par sa beauté, court le risque d’être ballottée au gré du désir des hommes, avec l’insécurité permanente, dévorante, que cela suppose. Elle risque de ne pas trouver une assise suffisante pour développer son estime d’elle-même et le sentiment de sa propre identité. Lors des premières désillusions de sa vie avec Doillon, Birkin évoque cette incertitude quant à son identité : « Finalement m’a-t-il connue moi ou une actrice ? Je ne me connais même pas, je me joue si bien. »"

Mona Chollet, dans son livre "Réinventer l'amour"

"Il me semble que de nombreuses femmes sont réticentes au féminisme parce que c'est un supplice d'être pleinement consciente de la misogynie brutale qui imprègne la culture, la société et toutes les relations personnelles."
― Andrea Dworkin dans son livre, Our Blood: Prophecies and Discourses on Sexual Politics